Quelle est la cause astrologique du COVID-19 ?
D’après les données, le coronavirus aurait fait son apparition en Chine, fin décembre 2019. À cette période, Saturne approchait de Pluton. Saturne est la planète qui symbolise le temps, les personnages âgées, les ascendants masculins, la lenteur, la frustration. Saturne se trouve dans le signe du Capricorne depuis décembre 2017 et s’apprête d’ici quelques jours à en sortir ponctuellement pour rejoindre le signe du Verseau, avant un dernier retour dans le Capricorne. Pluton est quant à elle une planète de mort symbolique, de catharsis, de transformation profonde. La planète a fait son entrée elle aussi dans le signe du Capricorne en janvier 2008, en pleine crise financière mondiale. Cette entrée dans le signe du Capricorne faisait suite à un long passage en Sagittaire, où le capitalisme effréné, sans règles et sans limites, avait fini par exploser à travers la crise des subprimes. Pluton en Capricorne signait la fin des excès du Sagittaire, la mort brutale des anciennes structures et la nécessaire redéfinition du jeu. Pluton est encore dans le signe du Capricorne, nous signifiant ce faisant que la mue n’est pas encore terminée. Il y restera jusqu’en mars 2023. Ces deux planètes, Saturne et Pluton, sont des planètes transpersonnelles, c’est-à-dire qu’elles ont une action collective et que leur but est de participer à l’évolution globale. Le point de contact exact entre Saturne et Pluton a été le 12 janvier 2020. Ce même jour, le Soleil et Mercure étaient également à la fête, en conjonction exacte, réunissant ainsi Pluton/Saturne/Mercure/Soleil dans le signe du Capricorne. On les connait moins bien, mais les astéroïdes sont également des corps célestes importants en astrologie. Cérès, représentée symboliquement par une faucille, est selon la tradition associée à la moisson, et donc aux conséquences de ce qui a été semé avant. Le décor est planté ! Le 12 janvier correspond peu ou prou à l’apparition médiatique du coronavirus et constitue donc un point de départ à l’évolution en pandémie de la maladie.
Saturne avait ainsi donné le coup d’envoi de la pandémie mais c’était sans compter sur Jupiter, planète associée au signe du Sagittaire et qui amplifie tout – en bien comme en mal. Jupiter approche dangereusement de la conjonction durable de Saturne/Pluton évoquée précédemment et marquera vraisemblablement l’apogée de la crise sanitaire, avec le plus de morts à travers le monde. Rappelons-le, Jupiter amplifie certes, mais Saturne symbolise aussi la mort, la fin de la vie matérielle. Nous y reviendrons plus tard. Mercure se trouvait depuis début février dans le signe flou du Poissons, non loin de Neptune, planète souvent associée aux affections respiratoires. Mercure a entamé sa rétrogradation le 18 février et repris sa course directe le 11 mars 2020. Cette période a correspondu à une vague de flou et d’incertitude, où nous savions tous ce qui se passait en Chine, mais de manière lointaine et diffuse. On aurait pu avoir tendance à penser que la crise s’arrêterait à la reprise directe de la marche de Mercure. Mais c’est le contraire qui a eu lieu. Mercure, lorsqu’il est rétrograde, inhibe les choses, les retarde, les ralentit en apparence et nous force à revoir certaines choses non vues initialement, et la fin de la rétrogradation marque souvent une accélération à nouveau des choses. C’est en effet ce qui s’est passé, un peu comme si le virus avait dormi pour mieux se multiplier (période d’incubation) et d’un seul coup être hors de contrôle.
Quand l’épidémie va-t-elle atteindre son pic ?
Depuis la fin de la rétrogradation de Mercure, les choses vont de mal en pis. Jupiter s’approche de Pluton/Saturne, mais le pire n’est pas là ! On attend aussi la guest star très belliqueuse de Mars, en Capricorne, pour reformer un amas encore plus dangereux que celui observé début janvier. Les dates fatidiques ont inclus le 18 mars (Lune/Mars/Jupiter/Pluton en conjonction dans le signe du Capricorne), qui a correspondu à l’annonce des confinements dans de nombreux États de par le monde. Rien ne pourra aller mieux avant que Jupiter ne dépasse sa conjonction exacte avec Pluton, le 5 avril. Entre le 30 mars et le 5 avril, nous serons vraisemblablement dans une configuration de multiplication phénoménale des cas mais aussi des décès, les deux intervenant simultanément. Mais malheureusement aussi d’impuissance, car Mars et Saturne seront conjoints en même temps et cette conjonction signifie le blocage, l’impuissance, les choses que l’on subit et les actions contrecarrées. Le duo Mercure/Neptune sera lui aussi en conjonction, dans le signe des Poissons, marquant l’apogée d’une période infectieuse. Cerise sur le gâteau : le Soleil et la Lune noire seront en conjonction également, dans le signe du Bélier, la Lune noire symbolisant la blessure ultime.
À quand la fin du confinement ?
Il faudra pour ce faire attendre que Mars et Saturne s’éloignent l’un de l’autre, pour permettre aux actions d’évoluer à nouveau dans un cadre « libre » et non contraint, ce qui devrait commencer à se faire ressentir aux alentours du 10-15 avril. L’épidémie ne reculera vraiment de manière manifeste qu’une fois que Jupiter s’éloignera sensiblement de Pluton, à savoir pas avant la fin avril 2020 (2 degrés de distance) pour les scénarios optimistes, voire fin mai pour les moins optimistes. Toutefois, je doute que le confinement aille au-delà de la mi-avril même si l’épidémie sera encore féroce jusqu’à la fin du mois d’avril.
En aura-t-on fini avec l’épidémie ?
J’en doute ! Pluton entame sa rétrogradation le 26 avril (date à laquelle le pire devrait selon moi être passé). La symbolique de la rétrogradation étant la même que pour les autres planètes, il y a fort à parier que le virus sera mis en sommeil pour mieux refaire son apparition une fois la rétrogradation terminée. Pluton étant une planète de transformation et mutation profonde, il est également possible que lorsqu’il réapparaîtra, il aura muté. Il redevient direct le 22 octobre. Toutefois, le ballet des autres planètes aura lui aussi bougé. Saturne fait une brève incursion dans le signe du Verseau (signe de l’innovation, des découvertes et avancées scientifiques) entre le 23 mars et le 23 juin 2020, laissant espérer l’apparition d’un vaccin et le succès des traitements innovants actuellement proposés (Saturne étant la symbolique du temps et du passé, un traitement « ancien » pourrait donc être une solution « innovante », quoique ponctuelle puisque Saturne rétrogradera lui aussi). Qui dit retour à la marche directe signifie donc qu’on repasse sur les points précédemment transités. Le 22 octobre, date de retour direct de Pluton, Jupiter ne sera une nouvelle fois pas loin et cette fois-ci, à nouveau en marche directe, c’est-à-dire, dans sa pleine puissance. Mars sera alors conjoint à la maléfique Lune noire et cette position n’est donc absolument pas de bon augure. Les alentours du 12 novembre devraient malheureusement une nouvelle fois marquer une période d’apogée des cas, faisant toujours autant de morts, car Saturne est toujours trop proche pour espérer ne pas le voir faucher de nouvelles vies. Les personnes âgées et les hommes seront une fois de plus les plus touchés, car Saturne est la symbolique des personnes âgées et des signes masculins. En janvier 2021, Saturne reste durablement en Verseau et ce ne sera qu’à ce moment-là qu’un vaccin ou remède définitif sera trouvé. Uranus étant conjoint à cette période-là à Mars, il se pourrait bien que ce soit aux alentours du 20 janvier 2021 que l’annonce ou la découverte se feront, date à laquelle le concert des planètes sera en Verseau. Le Verseau symbolise l’innovation, la nouveauté et le Soleil y fait justement son entrée ce jour-là, accompagné de Saturne, Jupiter et Mercure qui y séjournent déjà.